CONSCIENCE ET ÉCOLOGIE DU CORPS
Nous avons un corps, nous vivons dans notre corps, nous sommes notre corps, notre corps est nous…
C’est par ce biais complexe que nous nous relions au monde.
Notre corps est notre première maison
Le mot écologie vient de la racine grecque « oïkos », qui signifie maison.
L’écologie a fait du rapport à l’environnement son cheval de bataille. Mais le point de vue que nous adoptons est de considérer notre corps comme notre propre environnement.
Le contexte se fera « cor-texte ». D’une manière métaphorique on pourrait dire que notre corps est notre première maison.
Il est le reflet indissociable de notre attitude intérieure
Nous proposons de faire le lien entre le corps et l’attitude intérieure, en nous enfonçant dans la perception, la conscience, le « self care » autour de l’ensemble des fondamentaux du corps :
Respiration –tonus–posture–sensorialité–regard–marche
L’attitude intérieure parle d’émotions, d’intentions et de pensées…
C’est leur inscription corporelle qui fera l’objet d’une attention particulière.
Une prise de conscience nécessaire pour être pleinement relié à soi et aux autres
Le travail proposé d’attention bienveillante au corps n’est pas un simple narcissisme perceptif mais la prise de conscience et la mise en pratique de certaines routines perceptives qui changent radicalement le rapport à soi, l’attitude intérieure, et donc le rapport aux autres et au monde.
Des pratiques pour tous ceux qui ont besoin d’être authentiques dans leurs relations
Les pratiques que nous développons s’adressent à tous ceux qui cherchent à se réapproprier leur corps éclipsé par les « bombardements médiatiques divers » et à tout un chacun qui se pose la question du corps en soi et dans la relation.
Ces pratiques pourront intéresser tout particulièrement les travailleurs sociaux, les éducateurs, les coachs et toute personne chargée de la communication, les enseignants, les médiateurs et bien sûr… tous les acteurs du spectacle vivant.
Florence Peyrard, photo de Téo Pendle.